Expression écrite

De l’arbre naît le papier. De la feuille naît le mot. Des mots naît le texte.

Mots griffonnés dans un carnet, notes en marge, torrents de phrases :

il n’y a pas d’âge pour écrire.

Quel lien entretient-on avec l’écriture ? Dans nos sociétés où le texte est partout : texto, chat, courriers électroniques… où se loge la poésie ? Pris au sens étymologique, le terme de poésie trouve sa racine dans le fait de créer, de faire, de fabriquer. La poésie, tout comme l’écriture, est ainsi une chose très concrète. Si « l’invasion textuelle » façonne nos quotidiens, quelle part réserve-t-on à l’inventivité qu’il convient d’y ajouter ?

À tout moment de la vie, on peut écrire. Il n’y a pas d’âge pour commencer. Pour essayer. Pour découvrir. Pour développer. Pour partager. Et l’adolescence est l’un des moments propices pour y accéder. Qui n’a jamais entamer un journal intime ? Pour l’oublier, le laisser en plan, le taire.

Alors, des retrouvailles avec le texte, cet objet créatif, s’imposent. C’est ce qui advient dans les ateliers d’écriture où le désir d’écrire s’éprouve, dans la spontanéité et la connivence. Nourrie de ces mêmes ateliers d’écriture créative qui drainent une liberté et une énergie contagieuses, j’ai à cœur de poser, dans les cours d’expression écrite que je mène, un rapport original et personnalisé à l’écriture.

Des séances individualisées

Aussi, l’un des essentiels, que je tire de mon expérience de lectrice, d’écrivaine, d’animatrice, est que chacun.e retrouve la confiance en sa capacité d’écrire.

Cette confiance réapprise va engendrer la conscience des possibles et stimuler le rapport à l’écrit dans le cadre non scolaire. Des effets vertueux se répercuteront nécessairement sur les attentes du milieu d’apprentissage scolaire.

J’agis pour apaiser le lien souvent rompu avec l’école. Je n’interviens pas avec les codes scolaires mais avec la conversation, l’échange pour restaurer cette confiance.

De la sixième à la terminale

Années collège, années lycée, entre stages, bac et brevet, des années qui s’enchaînent, et où pointent et persistent des difficultés. Des « bof », des découragements, et on baisse les bras. Nous avons toutes et tous besoin d’améliorer notre expression écrite. Travailler la langue écrite est un sport d’endurance. Plusieurs éléments sont nécessaires à sa pratique : revoir le vocabulaire de base, pratiquer un échauffement, s’entraîner régulièrement, même quelques minutes par jour. Puis, peu à peu, reconnaître les leviers à actionner pour gagner en efficacité, améliorer ses performances parce qu’on a identifié ses forces et balayer les soi-disant faiblesses qui nous encombraient.

Des cours dexpression écrite sont proposés par le Cabinet d’écritures pour toutes et tous de la 6ème à l’entrée dans les études supérieures.

Je propose des séances d’expression écrite en présentiel, à Toulouse. Vous pouvez suivre ces séances à distance. La séance est à 33€ de l’heure (trente-trois euros). Pour tout renseignement complémentaire, merci de me contacter au 06 60 93 70 15.

Des solutions pour avoir le goût des mots

“Puisque ceci est une page blanche, pourquoi ne pas y écrire un mot ?”

Correspondance, Victor Hugo.

Une invitation plus qu’une obligation. Un pas de côté plus qu’une ligne toute tracée. Une respiration plus qu’une bouche fermée. Écrire, c’est tout ça, et bien plus encore. Mais c’est avant tout le plaisir, la liberté de faire courir les mots, les phrases, le texte sur la page, sur l’écran, sur le clavier.

Ma façon d’aborder le soutien en langue française est avant tout basée sur les retrouvailles avec le texte : pour écrire, tout court, encore faut-il en avoir envie. Et, souvent, les personnes qui viennent frapper à ma porte sont éloignées à ce point de l’écrit que l’envie n’est même plus une question. C’est peut-être votre cas ou le cas de quelqu’un que vous connaissez ?

Pour écrire, pour écrire mieux, pour écrire comme on veut, il faut contacter la petite étoile qui scintille en soi, et, une fois qu’on l’a trouvée, s’en rapprocher. S’aventurer dans cette zone où les mots affluent. Alors apprendre ou ré-apprendre, au plus tôt, le plaisir familier des mots !