Des ateliers sous forme dématérialisée pour :
- explorer un thème
- s’essayer à une forme écrite
- se servir des invites à écrire
- considérer votre texte terminé ou prêt à la réécriture à l’issue des séances.
- Le cycle Écrire Éros (Éros, Éros en non-mixité et Éros en ligne) s’adresse à un public âgé de + de 18 ans et averti.
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Dire le corps désirant
1 lundi toutes les deux semaines / 4 séances / janvier-février 2026. En visio + écriture personnelle.
L’objectif ? Écrire du point de vue du corps. Représentations, imaginaires, expériences vécues : de quoi nos corps sont-ils le nom ? Aujourd’hui, comment rendre, par les mots, les intentions désirantes ?
Ouvert à tout.e.s. à partir de 18 ans.
Lectures suggérées en amont, extraits de textes littéraires fournis lors des séances.
Vos textes déposent une histoire qui reste à écrire.
19h-20h30, en visio. 160€.
- Lundi 12 janvier 2026
- Lundi 26 janvier 2026
- Lundi 09 février 2026
- Lundi 23 février 2026
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Fragments Désirs
L’objectif ? Se pencher sur les formes brèves. Fragment, instantané ou micro-fiction, les formes courtes relèvent de la fulgurance. Cette technique d’écriture est très souple dans sa structure. Dans nos modes d’écrit contemporains, cette enveloppe polymorphe s’épanouit pleinement. L’auteur Nicolas Mathieu publie dans Le Ciel ouvert (Actes Sud, février 2024) des textes initialement parus sur Instagram. Dédiés à une femme aimée, qui n’était pas disponible, ces textes hurlent le manque, la déchirure, donc le désir. Les Fragments d’un discours amoureux de Roland Barthes disent, dans une langue autre, le rapport à l’être absent. Des extraits choisis forment notre terreau. Ils vous mettent sur le sentier de l’incandescence amoureuse, vous inventerez votre vocabulaire du désir.
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Nouer la chair de mots, l’art de la correspondance
L’objectif ? Revenir à la correspondance. Pratique délaissée, l’art épistolaire possède une densité oubliée, et plus encore quand il s’agit d’adresser son élan sensuel à quelqu’un. Des lettres écrites par deux correspondant.e.s qui emploient le vocabulaire le plus charnu, le plus brûlant pour dire leur désir, de James Joyce à Guillaume Apollinaire en passant par Jana Cerna.